Chroniques des manches retroussées, du ciel, et des matins qui passent. Textes de riens. De faim et de soif. Il y a chaque jour des gris à habiter, et des couleurs à faire pousser. Il faut chaque jour plonger ses mains dans le cambouis, se coltiner au peu, au rien, aux petites beautés ratées.Ce sont des choses insignifiantes, qui nous sauvent ou qui nous achèvent. Qui nous écrasent ou nous tiennent debout.